Souvent, les accidents de la vie et ils peuvent être nombreux, nous font perdre pied et nous mettent à terre. Il nous faut alors nous relever et reprendre le chemin de notre vie. Comme dans la mort, il y a toujours une petite lumière au bout du tunnel. À nous de ne pas l’éteindre.

Mourir c'est rêver sans jamais se réveiller.

La nuit nous faisons la connaissance de notre âme, de celui qui vit nos rêves. Il est un peu nous-même, sans inhibition, sans filtre, avec ses fragilités, ses forces, sa singularité, ses fantaisies. Il sera surtout le survivant de notre mort. Nous devrions le sonder pour mieux nous découvrir. Apprendre de lui c’est enfin se connaître.

La nuit, je pense. Le jour, j'écris.

Écrire c'est avant tout se faire plaisir. Raconter cette histoire que nous aimerions lire.

Raconter les difficultés de son quotidien c'est avancer vers la compréhension.

Qu'emportent les oiseaux quand ils quittent leur branche ? Un peu de ton sourire, ton regard attendri ? Ils reviennent très vite, surprendre ton attente. Et le cœur apaisé, t'oublies tous tes soucis.

Regarde dans le ciel, ces nuages éphémères, ils glanent tes pensées, tes troubles et tes peines, les emportent à l'infini, s'étirent et disparaissent.

La vie est un roman aux pages déchirées, où l’histoire se répète souvent inachevée.

Un auteur méconnu n’est pas lu ! Si un roman d’auteur inconnu retient votre attention, n’hésitez pas à le plébisciter sur les réseaux sociaux.

Parfois, des idées d'écriture ou de réflexions philosophiques m'arrivent en pensées mais je les oublie très vite alors que j'aurai pu les intégrer dans mes textes. Il faudrait inventer un outil capteur et enregistreur de pensées ...


Ma pensée, où sera-t-elle après ma mort ? Vivra-t-elle encore ? Voguera-t-elle de port en port ou s'écrasera-t-elle bêtement au sol comme cette flemme qui glisse sur son fil dans une dernière coulée de cire ?

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